Infos toute fraiche : Les frères algériens et les frères turcs se disputent à Quaregnon, des coups de feu tirés dans une fenêtre

Voici le principal d’un dossier que je viens de voir sur le web. Le thème va assurément vous plaire. Car le propos est « l’automobile ».

Le titre suggestif (Les frères algériens et les frères turcs se disputent à Quaregnon, des coups de feu tirés dans une fenêtre) en dit long.

L’éditorialiste (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.

Les révélations communiquées sont en conséquence présumées valides.

Le 25 août 2018, une bagarre éclate entre les deux clans dans un centre de paris sportifs. Un homme d’origine turque est sévèrement molesté. Il se réfugie dans un café de sa communauté et est emmené à l’hôpital.

Son frère est mis au courant des faits. Il laisse sa femme et une amie chez lui, et se rend à l’hôpital. Quelques minutes plus tard, des coups de feu sont tirés sur la façade de son habitation. La vitre explose et des projectiles terminent leur course dans les murs. On est passé à deux doigts d’un drame, une dame ayant eu le réflexe de se cacher… dans le panier du chien !

La police relève six impacts de balle dans la fenêtre, deux impacts sur le mur de la salle de bains et un impact sur le mur du fond.

Confusion sur le modèle de l’auto

Les victimes sont interrogées. Elles n’ont pas vu les tireurs, mais aperçu une grosse berline, genre Audi ou BMW… Un peu plus loin, la police immobilise une Mercedes. Deux des trois frères d’origine algérienne se trouvent à bord.

Cinq ans après les faits, les trois frères d’origine algérienne comparaissent devant le tribunal pour répondre de coups et d’une tentative de meurtre. Ils contestent.

Le ministère public met toutefois en avant des éléments interpellant. Un des frères a des résidus de tir sur son pantalon, l’autre en a sur la manche de sa veste. Des témoins déclarent que des menaces de mort avaient été proférées par le clan d’Algérie contre le clan de Turquie. Enfin, selon le parquet, l’un des frères détenait un 7.65, qu’il aurait exhibé devant la maman des autres, déclarant qu’il cherchait ses fils. Une peine de deux ans est réclamée contre les trois frères.

Parole à la défense

Me Lebas représente le cadet des frères, qui se déplaçait en béquilles au moment des faits car il venait d’être victime d’une balle dans la cuisse, à la sortie d’une discothèque. “Il était incapable de porter des coups à un homme, car il était immobilisé et sous traitement médical très lourd”, plaide l’avocat. Cependant, l’avocat des parties civiles déclare qu’il est allé remplacer sa béquille, le lendemain des faits, car elle était cassée.

Me Berger représente le deuxième frère, parti vivre en France pour s’éloigner de ce milieu criminogène. Il plaide aussi l’acquittement. “Certes, une particule de résidu de tir a été retrouvée sur ses vêtements, mais l’expert n’exclut pas un transfert. Quant à la scène de coups, aucun témoin ne mentionne sa présence sur les lieux”.

Enfin, Me Ledent défend l’aîné, interpellé dans la rue alors qu’il faisait les courses avec sa maman. “Il a remis son téléphone et il a tout de suite collaboré avec la police. Quand la première agression s’est déroulée, il n’était pas sur place. Il est arrivé à la fin, alors que la victime avait le visage en sang. La victime déclare d’ailleurs qu’il ne lui a pas porté de coups”.

Pour la tentative de meurtre, l’avocate raconte que l’aîné ne circule pas en Mercedes mais en Opel Astra. Si une particule de tir a été retrouvée sur sa veste, là aussi l’expert n’exclut pas un transfert.

Cinq ans après les faits, les frères aimeraient passer à autre chose et mener une vie normale, avec leur famille.

Jugement le 6 septembre.

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